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A la lecture de cet article, d'un journaliste malgache, je ne peux que penser que la Communauté Internationale, prend des positions de plus en plus difficiles à soutenir.
Après avoir réclamé à corps et à cri des élections le plus rapidement possible, les Pays occidentaux, semblent s'être rangés derrière l'avis de la SADC et exigeraient une transition inclusive de quinze mois. Pour se faire ils sont partis rechercher des anciens dirigeants, chassés du pouvoir et dont la gestion est connue de tous.
Le premier a précipité le Pays vers le gouffre avec " sa révolution socialiste ", le deuxième n'a fait qu'un bref passage avant d'être empêché, le troisième a fait l'objet de pas mal de critiques pour son affairisme.
Mais ou veut en venir cette communauté internationale ?
Sans prendre parti, il serait actuellement plus important actuellement, de savoir si ce Pays peut s'affranchir des " aides " des bailleurs conventionnels.
L'Ile Maurice l'a fait en son temps et les conditions de vie de la population se sont nettement améliorées. Ce n'est plus actuellement le cas mais ils étaient parvenus au plein emploi.
Les gestions antérieures sont connues, il est surprenant de se lancer vers des procès d'intentions à l'égard d'un pouvoir qui aux dires mêmes du FMI a une gestion saine des finances publiques depuis sa mise en place.
Bien sur les enjeux économiques sont importants, mais les profits reviennent aussi à Madagascar et aux partenaires commerciaux choisis. Ce Pays a des richesses diverses, même si elles sont en petites quantités et éparpillées, elles existent. Le pétrole coulant à flots à Madagascar n'est pas pour demain.
Des discordances au sein de la CI, ne pourront qu'apparaître, je doute que l'Europe et les E.U, continuent d'ouvrir la voie à la Chine qui se positionne dans toute cette région.
Ma question, n'est pas jusqu'ou ira Andry Rajoelina, mais bien jusqu'ou pense aller la CI?
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